• Préambule : article déconseillé au lecteur diabétique, haute teneur en sucre.

    Sponsorisé par Beghin Say

      

    Il s'avère de notoriété publique que je suis une gourmande invétérée, en adoration perpétuelle des sucreries en tous genres.

    Ainsi, pour que vous mesuriez l'ampleur des dégâts sans que j'ai à vous dévoiler avec désarroi mon postérieur de plus en plus épanouï, sachez que mon panel de plaisirs s'étend du simple bonbon haribo aux pâtisseries les plus diaboliques sans oublier la quasi totalité du rayon choco d'Auchan.

    Je me considère même à ce jour comme l'une des principales donnatrices du groupe Ferrero, détenteur je le rapelle des meilleures choses sur cette Terre : Kinder, Nutella, Raffaello. Le bonheur, quoi.

    J'exige d'ailleurs par la présente un pourcentage sur leurs ventes et leur impose de stopper illico la production du Kinder Délice, véritable hérésie gustative.

     

    En bref, vous l'aurez compris, j'aime à peu près tout ce qui contient du glucose. Ce qui me vaut d'être maudite par mon pancréas, auto-proclamé usine à insuline.

    Mon cas a de quoi faire frémir une diététicienne parce que je consomme non seulement du sucre sans restriction aucune mais en plus à une fréquence semi névrotique.

     

    Je m'explique. Il y a peu, une vérité me saute tout à coup aux yeux : mais qu'est ce que je dévore quand je suis heureuse !  Je me dis qu'en somme, le bonheur décuple ma gourmandise. Pourquoi pas après tout, autant être comblée sur tous les plans. 

    Ce même soir, je rencontre une contrariété. J'ai à cet instant le réflexe humain de me ruer vers ma boîte aux merveilles, j'ai nommé ma bien aimée réserve chocolatée.

    Autrement dit, non seulement je dévore comme un ours quand je suis épanouïe mais en plus je becte pour dix quand j'ai le moral dans les chaussettes de ski.

     

    Bilan calorique : dans un quotidien normal, c'est à dire non hermétique aux aléas d'une vie par chance pas monocorde, j'en déduis que je mange tout le temps.

    M'est avis que le diabète me guette.

     


    3 commentaires
  • Je ne vous l'ai pas encore raconté mais je me soupçonne des liens de parenté avec Dolly Parton et les Dixie Chicks.

    J'irais même jusqu'à dire que le sang de Willie Nelson himself coule dans mes veines.

    ( Ce qui ferait de moi le fruit d'un improbable ménage à cinq, j'en conviens. )

     

    Désolée papa de te renier aujourd'hui mais foi de boots ne saurait mentir.

     

    J'ai non seulement la dégaine mais également le groove ( tout relatif ) d'une country girl.

    Je le sais puisque depuis quelques mois, je me suis mise avec joie et bonheur à la line dance.

     

    J'admets que la première séance a été quelque peu déroutante.

    Imaginez vous faire un marathon d'une vingtaine de kilomètres engoncée dans un pull trop serré et indéniablement trop chaud, avec l'impression désagréable d'avoir toujours un temps de retard et d'ignorer totalement l'itinéraire.

    Voilà où j'en étais à la fin du cours. J'avais bien dû perdre un litre de sueur, ce qui équivaut pour moi à deux heures de jogging...ou à un créneau. Au choix.

    Moi qui m'y rendais détendue de la boots, relachée du stetson genre j'espère que je vais pas m'ennuyer.

     

    La country, c'est une vraie leçon d'humilité.

     

    Je peux dire qu'aux séances suivantes, j'avais pour unique et ambitieux objectif de survivre aux exigences de la prof diaboliquement possédée par Alan Jackson.

    Les semaines se suivent et j'y prends sacrément goût. Maintenant que les termes coaster step, cross shuffle, vine, jazz box et autre toe strut ne me terrorisent plus....et surtout que je les comprends !

     

    Pour tout vous avouer, là je trépigne même à l'idée d'être à samedi pour danser.

    Je ne suis certes pas non plus insensible à l'appel miamesque du pot de nouvelle année donné après. Que voulez-vous, ma gourmandise me perdra.

    Et puis surtout ce que j'aime, c'est l'ambiance décontractée, chaleureuse, qui règne dans ces petits moments de partage entre nous. Aussi tous les fous rires qu'on a !

     

    Vous l'aurez noté, c'est nettement moins hype que la danse bollywood, le qi gong ou le yoga...mais c'est drôlement plus bon !

    Finalement, c'est tout ce qui importe non ?

     


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  • Il y a deux jours, nous quittions 2010 les amis.

    Je dois bien reconnaître que ces adieux furent très loin d'être déchirants. Surtout de mon côté. L'an 2010, lui, s'était bien accroché à moi, j'étais devenue sa victime préférée.

    Par moment, il s'était même acharné le bougre. Amour passionel quand tu nous tiens...

    Mais voilà, nous avons rompu lui et moi. Je me suis tournée vers 2011 que j'espère heureux, passionné, plein de promesses.

    En grande cachotière que je suis, je ne vous ai pas encore relaté mes aventures de cyber femme... Pour tout vous dire, la rencontre online ne s'est pas montrée totalement infructueuse...

    ( Non ceci n'est absolument pas un teasing ! )

    Je souhaite donc, en toute humilité bien sûr, à cet homme choupi de me garder pour cette nouvelle année qui débute. 

    Et aussi... beaucoup de bonheur aux intrépides qui oseront s'aventurer sur ce blog !

     


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